Le Covenant


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1.6. 'Abdu'l-Baha par Shoghi Effendi (136)

Le 8 Février 1934, Shoghi Effendi écrivait une lettre aux bien-aimés de Dieu et aux servantes du Miséricordieux dans tout l'Occident, lettre publiée sous le titre "La Dispensation de Baha'u'llah". Shoghi Effendi précisait la portée de cette lettre en notant: "En vertu des obligations que je suis appelé à assumer comme Gardien de la Foi de Baha'u'llah, je sens,..., qu'il m'incombe d'insister spécialement sur certaines vérités qui résident à la base de notre Foi...(137)". En fait il décrit dans cette lettre le rang et la position de chacune des figures centrales de la Foi et les traits caractéristiques de l'Ordre administratif. Le texte qui suit dépeint donc la station, le rang et la position d''Abdu'l-Baha. Dans le chapitre "Les élucidations de la Maison Universelle de Justice", nous reviendrons sur certains autres passages de cette oeuvre importante de Shoghi Effendi.


La Dispensation de Baha'u'llah

  ... (138) Je suis convaincu qu'une tentative doit maintenant être faite en vue d'éclairer nos esprits quant à la station occupée par 'Abdu'l-Baha et à l'importance de sa position dans cette sainte Dispensation (139). A vrai dire, pour nous qui avons été en contact avec une aussi formidable figure et qui sommes attirés par le pouvoir mystique d'une personnalité tellement magnétique, il sera difficile d'acquérir compréhension exacte et claire du rôle et du caractère d'un être qui remplit une fonction unique, non seulement dans la Dispensation de Baha'u'llah, mais aussi dans le champ de l'histoire religieuse générale. Bien qu'évoluant dans une sphère qui lui est propre et bien que son rang soit radicalement différent de ceux de l'auteur et du précurseur de la Révélation baha'ie, il forme avec eux, en vertu de la position que lui a assignée l'alliance de Baha'u'llah, ce qui peut être dénommé les trois figures centrales de la Foi, trio de figures sacrées qui demeurent sans similaire dans l'histoire spirituelle du monde. De Concert avec eux, il domine d'une telle hauteur les destinées de cette Foi de Dieu à peine naissante qu'aucun individu ou corps constitué préposé après lui à la sauvegarde de ses besoins, ne pourra l'égaler avant qu'un millénaire (140) entier ne soit révolu. Ravaler son rang éminent, en assimilant sa station ou en la considérant comme approximativement équivalente à la position de ceux sur lesquels le manteau de son autorité s'est posé, (141) serait un acte d'impiété aussi grave que la croyance non moins hérétique qui tend à l'élever à un état d'égalité absolue avec la figure centrale ou avec le précurseur de notre Foi. Si immense en effet que soit l'abîme séparant 'Abdu'l-Baha de celui qui est la source d'une Révélation indépendante, la distance est encore infiniment plus grande entre celui qui est le Centre de l'Alliance et ses serviteurs chargés de continuer son oeuvre, quels que soient le nom, le rang. les fonctions ou les oeuvres de ces derniers. A ceux qui ont connu 'Abdu'l-Baha et qui, mis en contact avec sa personnalité magnétique, lui ont voué une si fervente admiration. je demande de vouloir bien méditer à la lueur de cette affirmation, sur la grandeur d'un être (142) dont le rang est tellement plus élevé que le sien.

Les paroles du fondateur de notre Foi et de l'interprète de ses enseignements enchâssent de façon indescriptible les vérités fondamentales suivantes : 'Abdu'l-Baha n'est pas une Manifestation de Dieu.
Bien qu'il soit le successeur de son père, il n'occupe point une station analogue. Personne. hormis le Bab et Baha'u'llah, ne peut prétendre à une telle station avant l'expiration d'un millénaire entier....

Les propres affirmations d"Abdu'l-Baha, destinées à confirmer cet avertissement. sont tout aussi énergiques et catégoriques : Voici, affirme-t-Il, ma conviction ferme et inébranlable, l'essence de ma croyance déclarée et explicite -conviction et croyance que les citoyens du Royaume d'Abha partagent pleinement : La Beauté Bénie est le Soleil de vérité et sa lumière la lumière de vérité... Le Bab est également le Soleil de vérité et sa lumière la lumière de vérité... Mon rang est celui de la servitude -servitude qui est complète, pure et réelle, fermement établie, durable, évidente, explicitement révélée et non sujet à commentaires... Je suis l'interprète de la Parole de Dieu; telle est mon explication.

Le testament d"Abdu'l-Baha, document ultime conçu en vue de la perpétuelle propagation des directives et des voeux d'un Maître défunt, contient dans un de ses plus importants passages une réponse aux violateurs les plus acharnés de l'alliance de son père qui, animés d'une inlassable ténacité, l'accusaient de prétendre tacitement à une position égale, sinon supérieure, à celle de Baha'u'llah. Par cette réponse -écrite d'un ton et en termes bien faits pour les confondre 'Abdu'l-Baha les prive de leur arme principale en déclarant : Voici la base fondamentale de la croyance des gens de Baha : Sa Sainteté l'Exalté (le Bab) est la Manifestation de la concorde et de l'unité de Dieu ainsi que le précurseur de l'Ancienne Beauté (Baha'u'llah). Sa Sainteté la Beauté d'Abha (Baha'u'llah) (puisse ma vie être offerte en sacrifice à ses fidèles amis) est la suprême Manifestation de Dieu et l'Aurore de sa plus divine Essence. Tous les autres sont ses serviteurs n'agissant que par son ordre.

Ces affirmations si lumineusement claires et formelles, bien qu'incompatibles avec toute prétention à la station de prophète, ne nous permettent nullement de conclure qu"Abdu'l-Baha n'est qu'un des serviteurs de la Beauté Bénie, et que sa fonction se limite à celle d'un interprète autorisé des enseignements de son père. A Dieu ne plaise que je professe une telle notion. Le considérer sous ce jour équivaudrait à une évidente trahison à l'égard de l'inestimable héritage (143) que Baha'u'llah a laissé à l'humanité. La position que la Plume suprême lui a conférée est superlativement élevée. elle domine et surpasse les inductions qui découlent des propres déclarations écrites d"Abdu'l-Baha. Soit dans le Kitab-i-Aqdas, la plus importante et la plus sacrée de toutes les oeuvres de Baha'u'llah, soit dans le Kitab-i-'Ahd, le livre de son Alliance,. ou encore dans le Sùriy-i-Ghusn (Tablette de la Branche), on trouve, écrites de la main de Baha'u'llah -et puissamment renforcées par les Tablettes adressées en propre à son fils- certaines allusions qui investissent 'Abdu'l-Baha d'un pouvoir, et le parent d'une auréole, que la présente génération ne pourra jamais apprécier à leur juste valeur.

Il est, et il doit être considéré à jamais, d'abord comme le centre et l'axe de l'incomparable alliance universelle de Baha'u'llah, et encore comme son oeuvre la plus exaltée, le miroir immaculé de sa lumière, le parfait exemple de ses enseignements, l'infaillible interprète de sa parole, la personnification de tout idéal baha'i. l'incarnation de toutes les vertus baha'ies, la plus grande Branche issue de l'Antique Racine, l'organe de la loi de Dieu, l'être autour duquel les noms gravitent, la cheville ouvrière de l'unité de l'humanité, le symbole de la plus grande paix, la lune de l'orbe central de cette suréminente Dispensation titres et épithètes qui se confondent et trouvent leur expression la plus élevée et la plus juste dans le nom magique d"Abdu'l-Baha. Il domine et surpasse ces appellations. Il est le Mystère de Dieu, expression choisie par Baha'u'llah lui-même pour le désigner. Cette dénomination, sans nous donner en rien le droit de lui assigner la station de prophète, nous indique comment les caractéristiques de la nature humaine, de la science et de la perfection se sont fondues dans la personne d"Abdu'l-Baha en une complète harmonie."
...

Baha'u'llah écrivant de sa propre main, s'adresse ainsi à 'Abdu'l-Baha : O toi qui es la prunelle de mes yeux! Que ma gloire, l'océan de la bienveillance de mon amour, le soleil de ma bonté, le ciel de ma miséricorde se posent sur toi. Nous prions Dieu d'éclairer le monde par ta science et ta sagesse. Nous le prions de choisir pour toi ce qui réjouira ton coeur et apportera la consolation à tes yeux. Que la gloire de Dieu soit sur toi, écrit-il dans une autre Tablette, et sur quiconque te sert et gravite autour de toi. Malheur, grand malheur à qui te fait opposition et t'injurie! Heureux celui qui te jure fidélité; que le feu de l'enfer tourmente celui qui est ton ennemi. Nous avons fait de toi un abri pour toute l'humanité affirme-il dans une autre Tablette : Tu es un bouclier pour tous ceux qui sont au ciel et sur la terre, une forteresse pour qui a cru en Dieu, l'Incomparable, l'Omniscient. Que Dieu veuille bien par toi les protéger, les enrichir, les soutenir, qu'il t'inspire ce qui sera une source de bonheur pour toutes choses créées, un océan de bonté pour tous les hommes, et l'aurore de la miséricorde pour tous les peuples."

Dans une prière révélée en l'honneur d"Abdu'l-Baha, Baha'u'llah supplie : Tu sais, ô mon Dieu ! que je ne désire pour lui que ce que tu as toi-même désiré, et que c'est pour me conformer à ton intention que je l'ai choisi. Accorde, en conséquence, qu'il soit victorieux, grâce à tes légions terrestres et célestes... Je t'en conjure, par l'ardeur de mon amour pour toi et par mon inspiration à manifester ta cause, décrète pour lui et pour ceux qui l'aiment ce que tu as destiné à tes Messagers et aux Dépositaires de ta Révélation. En vérité. Tu es le Tout-puissant, l'Omniscient.

Lors d'une visite d"Abdu'l-Baha à Beyrouth (144) Baha'u'llah lui adressa par la plume de son secrétaire Mirza Aqa Jan, une lettre (145) où nous lisons ce qui suit : Louange à Lui qui a honoré la terre de Ba (Beyrouth) de la présence de celui autour de qui tous les noms gravitent. Tous les atomes de la Terre ont annoncé à toutes choses créées que, de derrière la porte de la ville-prison (146) est apparu l'orbe de la beauté de la puissante de la plus grande Branche de Dieu -son mystère antique et immuable -, qu'au-dessus de son horizon il a brillé, alors qu'il cheminait vers un autre pays. L'affliction s'est ainsi abattue sur la Ville-Prison. tandis qu'une autre terre se réjouissait... Béni, doublement béni, est le sol que ses pas ont foulé, l'oeil que la beauté de son visage a réjoui. l'oreille qui a eu l'honneur d'entendre son appel, le coeur qui a goûté à la douceur de son amour, la poitrine qui s'est dilatée à son souvenir, la plume qui a célébrée sa louange, le parchemin qui a porté le témoignage de ses écrits(147)

'Abdu'l-Baha confirmant l'autorité qui lui a été conférée par Baha'u'llah écrit la déclaration suivante : conformément au texte explicite du Kitab-i-Aqdas, Baha'u'llah a fait du Centre de l'Alliance l'interprète de sa parole. Cette Alliance est si ferme et si puissante que depuis l'origine des temps jusqu'au jour présent aucune dispensation religieuse n'a produit son pareil.

Le rang si exalté d"Abdu'l-Baha et les surabondantes louanges dont Baha'u'llah a glorifié son fils dans ses livres et Tablettes sacrés, tout en lui accordant une distinction unique, hors pair, ne devraient jamais être interprétés comme conférant à leur bénéficiaire une station identique, ou équivalente, à celle de son père, la Manifestation elle-même. Donner à un quelconque de ces passages cités une telle interprétation mettrait celle-ci. et pour des raisons qui sautent aux yeux, en conflit immédiat avec les affirmations et les avertissements non moins clairs et authentiques dont j'ai déjà fait mention. A vrai dire, ainsi que je l'ai antérieurement établi, ceux qui surestiment la station d"Abdu'l-Baha sont aussi répréhensibles et font autant de mal que ceux qui la sous-estiment. Et voici pourquoi : par leur insistance à tirer des écrits de Baha'u'llah des conclusions nullement autorisées, ils justifient, sans le vouloir, les fausses accusations et les déclarations trompeuses de l'ennemi et lui fournissent continuellement des preuves.

En conséquence, Je trouve nécessaire de déclarer sans équivoque ou hésitation que ni dans le Kitab-i- Aqdas ni dans le livre de l'Alliance de Baha'u'llah, ni même dans la Tablette de la Branche,. ni dans aucune autre Tablette révélée par Baha'u'llah ou par 'Abdu'l-Baha, il ne se trouve la moindre phrase ou expression qui puisse autoriser à soutenir l'opinion qui tend à admettre la soi-disant "unité mystique" de Baha'u'llah et d"Abdu'l-Baha, pas plus qu'à établir l'identité de ce dernier soit avec son père, soit avec toute autre Manifestation antérieure."
...

J'affirme, est le propre commentaire d"Abdu'l-Baha sur la Tablette de la Branche (148), que le vrai sens, la signification réelle, le secret le plus profond de ces versets, de ces mots eux-mêmes, c'est la constatation de ma servitude vis-à-vis du seuil sacré de la Beauté d'Abha, de mon effacement personnel, de mon entière annihilation devant lui. C'est de cela qu'est faite ma couronne resplendissante, mon précieux ornement. C'est de cela que je m'enorgueillis dans le royaume de la terre et du ciel. C'est là ce dont je me fais gloire dans la compagnie des élus ! Il n'est permis à personne, nous avertit-il dans le passage immédiatement subséquent, de donner à ces versets aucune autre explication. Je suis, affirme-t-il dans le même ordre d'idées, en conformité avec le texte formel du Kitab-i-Aqdas et du Kitab-i-'Ahd le manifeste interprète de la parole de Dieu... Quiconque n'accepte pas mon interprétation est la victime de son imagination.

La conséquence inévitable de la croyance à l'identité de l'auteur de notre Foi et de celui qui est le Centre de son Alliance serait de placer 'Abdu'l-Baha dans une position supérieure à celle du Bab, alors que le principe contraire, bien qu'il ne soit pas encore universellement reconnu, est à la base de cette Révélation. Elle justifierait aussi l'accusation par laquelle, durant tout le ministère d"Abdu'l-Baha, les briseurs d'Alliance se sont efforcés de corrompre les esprits et de pervertir la compréhension des loyaux adeptes de Baha'u'llah...

'Abdu'l-Baha n'est pas une Manifestation de Dieu, il reçoit sa lumière, son inspiration, son appui directe- ment de la source de la Révélation baha'ie ; il reflète de façon parfaite, comme un miroir clair et idéal, les rayons de la gloire de Baha'u'llah, sans posséder de façon inhérente, cette indéfinissable réalité, qui cependant pénètre toutes choses, mais demeure l'apanage exclusif et la marque distinctive du Prophète. Ses paroles, tout en possédant une égale validité, ne sont pas égales en rang à celles de Baha'u'llah; il ne doit pas non plus être acclamé comme étant la réapparition de Jésus-Christ, le Fils qui viendra "dans la gloire du Père". Ces vérités déjà patentes trouvent une justification accrue, et sont encore renforcées, par les déclarations suivantes qu"Abdu'l-Baha a adressées à quelques croyants d'Amérique, déclarations qui me permettent de mettre un point final à ce chapitre : Vous avez écrit qu'une dissidence existe entre les croyants en ce qui concerne la "seconde venue du Christ". Mon Dieu ! Que de fois cette question a-t-elle été soulevée, et toujours 'Abdu'l-Baha y a répondu par l'affirmation aussi claire qu'irréfutable émanée de sa plume. Les prophètes, en mentionnant "le Dieu des Armées" et le "Christ à venir" ont voulu uniquement et sans équivoque possible, désigner la Perfection Bénie (Baha'u'llah) et Sa Sainteté l'Exalté (le Bab). Mon nom, à moi, est 'Abdu'l-Baha, ma qualification est 'Abdu'l-Baha. ma réalité est 'Abdu'l-Baha, ma louange est 'Abdu'l-Baha. ma soumission à la Perfection bénie est mon glorieux et resplendissant diadème, et servir l'humanité entière est ma perpétuelle religion... Je n'ai point de nom, de titre, de mention, de qualité autre qu"Abdu'l-Baha, et jamais n'en aurai d'autre. C'est là mon ardent désir. C'est là l'objet de la plus profonde aspiration de mon âme. C'est de cela qu'est faite ma vie éternelle. C'est de cela qu'est faite ma gloire sans fin.



NOTES

136. La Dispensation de Baha'u'llah, pp. 59-76 (OMB pp. 121-31).  ñ  Ouvrir le livre La dispensation de Baha'u'llah
137. Ibidem p. 12 (OMB p.94).  ñ

138. Les extraits qui suivent se rapportent naturellement à 'Abdu'l-Baha. Cependant pour éviter les répétitions, les extraits des Ecrits cités par Shoghi Effendi mais rapportés par ailleurs dans ce recueil n'ont pas été reproduits ici.  ñ

139. La "dispensation baha'ie" est une période, d'au moins mille ans, durant laquelle les lois de Baha'u'llah sont applicables pour l'humanité. Après cette période, une autre Manifestation de Dieu viendra et aura l'autorité d'abroger ou de proroger les lois de Baha'u'llah. La Dispensation baha'ie est divisée en trois âges: l'âge apostolique ou héroïque, qui va de 1844 à 1921, l'âge de transition ou de formation qui doit aboutir, dans les siècles à venir, à l'âge d'or de l'ère baha'ie.  ñ

140. La durée minimale de la Dispensation baha'ie.  ñ

141. Le Gardien et la Maison Universelle de Justice.  ñ

142. Baha'u'llah.  ñ

143. Voir la première phrase du Kitab-i-'Ahd  ñ

144. A l'invitation de Midhat Pasha, gouverneur de la province de Syrie, 'Abdu'l-Baha se rendit à Beyrouth en 1879. Midhat Pasha est considéré par les Turcs comme le père de la constitution. Ce voyage a une signification particulière puisqu'il a eu lieu à l'invitation du gouverneur et que le statut d''Abdu'l-Baha était alors celui d'un prisonnier de l'Empire Ottoman. L'édit du Sultan 'Abdu'l'Aziz, déposé trois ans plus tôt n'avait pas été abrogé et cet édit interdisait tout contact avec les prisonniers. Lors de ce voyage, le Maître rencontra un certain nombre de personnalités éminentes dont Shaykh Muhammad 'Abduh, futur Grand Mufti d'Egypte.  ñ

145. Connue sous le nom de Lawh-i-Ard-i-Ba (Tablette de la terre de Ba).  ñ

146. 'Akka.  ñ

147. On peut lire le texte anglais complet de cette Tablette dans Tablets of Baha'u'llah revealed after the Kitab-i-Aqdas, P 227 et sa traduction dans Tablette de Baha'u'llah pp. 235-38.  ñ
 Ouvrir le livre Les Tablettes de Baha'u'llah
148. Selon A. Taherzadeh (The Revelation of Baha'u'llah, vol. II, p. 395), c'est Mirza Haydar-'Ali qui a demandé à 'Abdu'l-Baha la signification de la Tablette de la Branche et de quelques vers de Mathnaviy-i-Mubarak (un poème mystique de Baha'u'llah) se rapportant au Maître.  ñ


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